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5 juillet 2014 6 05 /07 /juillet /2014 11:40
Ce qui compte vraiment

On va avoir la paix ;-)

Bises

Zinedine Z.

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11 juin 2014 3 11 /06 /juin /2014 09:47

Oyé oyé, c'est demain jeudi 12 juin que nous nous rassemblons à 18h devant (ou à côté de) l'ambassade du Brésil pour protester contre l'organisation de la coupe du monde, les personnes chassées de leur maison, les milliards dépensés au bénéfices des multinationales capitalistes, dont la FIFA, et la répression des mouvements sociaux au Brésil.

A demain !

Bises

Zinedine Z.

 

 

Déballonnons la FIFA !

http://www.grouchos.org/140607fifabresil.html

 

La FIFA de Sepp Blatter, face à la fronde sociale qui se manifeste au Brésil, voudrait presque se dédouaner en disant, par la voix de son secrétaire général Jérôme Valcke : « ce n'est pas la FIFA qui organise le Mondial au Brésil, mais le Brésil qui organise le Mondial dans douze villes ».

Se donner des chances de comprendre la teneur politique de l'opposition qui se manifeste presque depuis un an là-bas, consiste à lier la situation brésilienne à l'institution sportive ce que d'aucun, par simplisme ou pire ! par tactique pro-sportive, voudrait séparer. Le sport s’inscrit non seulement dans la logique du capital mais inversement aiguillonne particulièrement le mode de production dominant: il est non seulement la norme de l'engagement au travail mais aussi un modèle d'identification dans les rapports sociaux de classe. C'est ainsi que la coupe du monde de football agglomère un bloc capitaliste réunissant des multinationales, la tête de l’État brésilien et son gouvernement et bien sûr la FIFA à travers le COL (Comité d'organisation Local) de Ricardo Trade.

La raison de notre soutien au beau mouvement social brésilien et en particulier aux grévistes du métro de Sao Paulo, tient dans la dénonciation de l'immense appropriation privative des ressources commune du Brésil. Le spectacle du ballon rond a pour fonction politique de drainer l'argent public :

  • vers les grandes multinationales qui sponsorisent l’événement,

  • vers les puissants qui règnent là-bas au Brésil,

  • et bien sûr vers cette mafia sportive aux profits juteux qu'est la FIFA.

Les manifestants ne scandent-il pas : « la coupe est pour qui ? Pas pour nous » ! En effet, non seulement la FIFA fait des bénéfices astronomiques (plus de 2 milliards de chiffre d'affaire par an!) qui sont proprement indécents face à l'extrême pauvreté, mais elle impose aussi ses exigences de prestige qui ont des effets inhumains :

  • expulsions d'habitants pour permettre des constructions de haut standing pour les riches dans les zones urbaines, évacuation manu militari et destruction des habitations des populations autochtones,

  • instauration d'un ordre politique qui ressemble à un État de siège où l'intention politique est de museler les syndicats et le mouvement social à l'aide de 170 000 policiers et militaires et de juges aux ordres,

  • des cadences infernales, des risques mortels pour les ouvriers qui travaillent sur les chantiers des stades en construction ou en rénovation : déjà sept ouvriers morts depuis le début des travaux pour ce Mondial.

Contre les mirages du football : rassemblement devant l'ambassade du Brésil à Paris (M° Alma Marceau), le jeudi 12 juin à 18h00 !

 

 

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10 mai 2014 6 10 /05 /mai /2014 10:02

Sans commentaire...

Merci au palmipède de cette semaine

Bises

Zinedine Z.

 

 

L'ego du footballeur
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7 mai 2014 3 07 /05 /mai /2014 19:06

Les naïfs nous diront sans doute qu'il s'agit là de dérive. Des dérives qui ont lieu tous les jours, dans tous les pays, j'aurais tendance à appeler ça un symptôme caractéristique d'une maladie bien plus profonde. La trogne du chef des supporters Napolitains, qui impose sa loi, aussi me paraît symptomatique des personnalités que draine le football.

Bises

Zinedine Z.

 

Le pouvoir italien pris entre mafia et violence dans les stades

http://www.rfi.fr/europe/20140506-italie-matteo-renzi-pouvoir-italien-entre-mafia-violence-stades-football/

 

L'Italie n’est pas encore parvenu à éliminer la violence dans les stades. Samedi, au Stade Olympique de Rome qui accueillait la finale de la Coupe entre la Fiorentina et Naples (1-3), a montré la faiblesse des institutions face à la force de groupes d’ultras. Il a fallu attendre 45mn pour que match démarre, et c’est indirectement le chef des ultras de Naples, fils d’un boss de la camorra, la mafia napolitaine, qui en a donné l’autorisation.

Avant la finale de la Coupe, il y a eu des altercations entre supporters de la Fiorentina et de Naples. En fin d’après midi, à 300m du stade olympique de Rome, le chef des ultras de l’AS Roma, armé, a tiré contre des « tifosi », supportersde Naples, blessant très grièvement l’un d’eux âgé de 29 ans. Cet homme armé, qui a été lui-même été blessé par la suite par des tifosi de Naples, est inculpé de tentative de meurtre. Très vite, dans l’enceinte du stade archi comble, les tifosi de Naples ont su que l’un d'entre eux était gravement blessé. Quelqu’un a même fait courir le bruit selon lequel il était mort. La tension s’est exacerbée. Les tifosi ont lancé pétards et fumigènes, blessant cette fois-ci des stewards et un pompier.

Après 45 minutes de retard, le matche a pu démarrer. Mais seulement à l’issue d’un conciliabule entre le chef de la police, le capitaine de Naples, le slovaque Marek Hamsik et le chef des ultras de Naples, Gennaro De Tommaso, connu sous le surnom « Genny la charogne ». Un colosse à la tete rasée, tout en muscle et en tatouage. C’est donc Genny la charogne qui a calmé les tifosi pour que le matche se dispute, après avoir obtenu on ne sait quelles garanties.

Impuissance des autorités

Comme le soulignent les médias, il aurait suffit de lancer un appel, puisque les hauts-parleurs ne manquent pas dans ce stade, pour informer spectateurs et tifosi de la situation réelle. Ensuite, il faut savoir que parmi les spectateurs présents dans la tribune d’honneur, il y avait le président du Sénat, Pietro Grasso, et le chef du gouvernement. Or, ce soir là, on a vu un Matteo Renzi qui semblait impuissant face à un Genny la charogne dictant ses lois. Tout a été filmé.

De son coté, le ministre de l’Intérieur, Angelino Alfano, a ajouté de l’huile sur le feu. Il assure qu’il n’y a pas eu de négociations entre ultras, en odeur de mafia, et représentants de l’État. Cet évènement a donné l’image humiliante d’un pays aux institutions fragiles.

Italie : la Charogne, la mafia et le football
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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 08:27

Le sport, c'est beau, le sport c'est bon pour la santé, le sport c'est la liberté !

Bises

Zinedine Z.

 

 

 

 

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 20:45

De retour après un gros coup de flemme. Salut.

Pour revenir à nos belles histoires sportives, la fédé de rugby qui encaisse de grosses sommes d'argent sale. Mafia, banditisme et sport font bon ménage, mais c'est bon pour la santé, n'est-ce pas ?

Bises

Zinedine Z.

Merci au Canard d'aujourd'hui 15 janvier 2014

Merci au Canard d'aujourd'hui 15 janvier 2014

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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 15:45
Sotchi : un sportif, ça ferme sa gueule

Telle est la morale sans surprise de ces déclarations de sportifs sélectionnés pour les prochains JO d'hiver, qui auront lieu dans la région la plus chaude de Russie.

Quand on lit que celle qui se sent la plus concernée par les problèmes sociaux et politiques en Russie, n'imagine seulement que "d'emmener avec [elle] les gens dans des émotions intenses" en un mot, continuer à renforcer le voile mystique sportif, on reste consterné. Malheureusement, rien de surprenant.

Bises

Zinedine Z.

 

JO de Sotchi : les athlètes français divisés face à la sécurité

 

Les Jeux olympiques de Sotchi en Russie seront sous très haute surveillance. À trois mois de l'ouverture des jeux, le volet sécuritaire commence à être dévoilé. À travers un dispositif baptisé SORM, les services secrets russes pourront intercepter toute les conversations téléphoniques et les mails. Dans le même temps, les manifestations seront interdites de début janvier à fin mars. Une situation qui divise les athlètes français, réunis lundi à Paris pour la présentation de la délégation française.

***********************

C'était le sujet sensible lundi lors de la présentation de la délégation française au CNOSF (Comité national olympique et sportif français). Le dossier qui ôtait le large sourire présent sur la plupart des visages des athlètes à 100 jours de l'ouverture de ces Jeux olympiques : la question de la surveillance généralisée et des atteintes aux droits de l'Homme.

Il y a dix jours, le dispositif de sécurité a été dévoilé par un journaliste indépendant russe. En résumé, le FSB, successeur du KGB, pourra écouter toutes les conversations, lire tous les courriels et accéder à tous les contenus échangés lors de ces jeux.

"Ne pas mettre son éthique au fond de sa poche"

"Il y a beaucoup de choses qui me heurtent, qui me gênent, qui me choquent", raconte ainsi Ophélie David, skieuse de ski cross.

"On ne peut pas mettre au fond de sa poche son éthique et ses convictions, et encore mois quand on est Français et qu'on a été élevé dans une certaine idée de la démocratie" (Ophélie David)

Et la championne de s'interroger, comme d'autres, sur ses moyens d'action. "La seule chose que je peux faire, c'est d'emmener avec moi les gens dans des émotions intenses quelque soient la religion, l'ethnie, les préférences sexuelles"

"Ca ne va pas nous empêcher de faire des performances"

Un discours finalement minoritaire. Beaucoup, voire une majorité de sportifs, préfèrent ne penser qu'au sport. C'est le cas de Brian Joubert, le patineur artistique. Le fait de savoir que ses conversations pourront être espionnées à tout moment ne le gêne pas le moins du monde.

Il raconte ainsi en avoir vu d''autres, notamment lors des Jeux de Salt Lake City aux États-Unis en 2002 quelques mois après les attentats du 11 septembre. "À l'époque, tout le monde avait peur des attentats. La sécurité était assez important et ca ne va pas nous empêcher de faire des performances", explique Brian Joubert et de conclure :

"Moi j'ai rien à me reprocher, alors ca ne me dérange pas"

Une frilosité qui peut s'expliquer par le contexte toujours particulier qui entoure les Jeux olympiques. Il y a d'abord la charte olympique et le CIO qui interdisent toute manifestation politique dans les enceintes sportives. Il y a aussi les dirigeants du sport français qui demandent, ou vont demander, aux athlètes de ne parler que de sport.

"Ne pas s'occuper de sujets qui les dépassent"

Pour Michel Vion, le président de la Fédération française de ski, "on peut imaginer au moment du choix des jeux, que la question se pose. Maintenant c'est comme ça, ce sera en Russie et à Sotchi avec le bien et le moins bien".

Selon Michel Vion, "les athlètes n'auront pas de consignes, mais on discutera avec eux de bien être sur leurs sujets et pas sur des problèmes qui les dépassent largement. Ils auront des objectifs à remplir eux-mêmes avant de s'occuper des autres".

"Notre boulot, c'est d'aller vite sur les skis"

Des consignes déjà bien assimilées par Jason Lamy-Chappuis, le porte drapeau de la délégation française et belle chance de médaille tricolore. Pas prêt donc de faire entendre son opinion lors de ces JO : "Nous notre boulot c'est de sauter loin et d'aller vite sur les skis et ça sera après quand je n'aurai rien a perdre au niveau sportif que je pourrais dire des choses... Mais pas pour l'instant."

Reste que de nombreuses organisations de défense des Droits de l'Homme appellent à la mobilisation à l'occasion des ces JO. Pas celle des athlètes, pris entre deux feux, mais celle de toutes les personnes qui vont assister à ces Jeux olympiques. Journalistes en tête. Pas question de laisser ces JO être un outil de propagande pour Vladimir Poutine. Il faut pouvoir parler de la société russe et des sujets qui fâchent même si le régime fait tout pour étouffer la contestation.

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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 14:21

Encore une charrette de cadavres sur les chantiers de la conquête mondiale du sport. Quel qu'en soit le coût, elle avance, inexorablement. Qui s'en soucie ? Lors de la prochaine compétition chacun vibrera pour son équipe favorite, les ouvriers pourront mourir une deuxième fois de l'oubli.

Bises

Zinedine Z.

 

 

Coupe du monde 2022 : des "esclaves" népalais morts au Qatar sur les chantiers

http://www.lemonde.fr/sport/article/2013/09/26/des-esclaves-nepalais-morts-au-qatar-sur-les-chantiers-de-la-coupe-du-monde_3484869_3242.html

D'après des documents confiés par l'ambassade du Népal à Doha auco journal britannique The Guardian, au moins 44 ouvriers népalais employés sur des chantiers de construction des sites de la Coupe du monde 2022 au Qatar sont morts entre le 4 juin et le 8 août. Jeunes pour la plupart, ils ont été victimes d'attaques et insuffisances cardiaques ainsi que d'accidents sur leur lieu de travail. Tous exerçaient dans des conditions d'exploitation qui s'apparentent à de l'esclavage moderne.

 

L'émirat affiche la part de travailleurs migrants rapportée à sa population la plus importante au monde. Plus de 90 % de la main-d'œuvre est composée d'immigrés et, d'après The Guardian, "1,5 million d'ouvriers supplémentaires doivent être recrutés pour construire les stades, les routes, les ports et les hôtels nécessaires au bon déroulement du tournoi" de football. Les Népalais comptent pour 40 % d'entre eux, et plus de 100 000 se sont rendus au Qatar l'an passé. Ils constituent la main-d'œuvre principalement employée pour l'organisation du Mondial.

Au rythme actuel des décès sur les chantiers au Qatar, au moins 4 000 ouvriers pourraient mourir dans l'Emirat avant même le coup d'envoi du Mondial 2022, a accusé la Confédération internationale des syndicats dans les colonnes du Guardian jeudi.

 

UNE "PRISON À CIEL OUVERT"

 

L'enquête du Guardian évoque des éléments qui démontrent une vaste exploitation des ouvriers étrangers, du travail forcé – parfois par 50 °C –, un refus d'accès à l'eau potable – pourtant gratuite – et des violations multiples des normes internationales en matière de droit des travailleurs. Dans des conditions sanitaires alarmantes, certains de ces ouvriers étrangers dorment à douze dans une chambre d'hôtel insalubre, en proie aux maladies.

 

Le voyage depuis le plateau himalayen jusqu'aux déserts de la péninsule arabique coûte une fortune aux migrants, obligés de s'endetter pour payer les agences qui prennent en charge leur transfert. Les taux d'intérêt de leurs emprunts sont exorbitants – le journal parle de 36 %. Sur place, ils sont souvent payés avec plusieurs mois de retard, et leurs salaires retenus pour les empêcher de fuir. Certains ont vu leurs passeport ou pièces d'identité confisqués.

 

Un jeune ouvrier de 27 ans, Ram Kumar Mahara, raconte au quotidien britannique qu'il a gardé le ventre vide pendant vingt-quatre heures, après douze heures de travail et une nuit entière : "Quand je me suis plaint, mon chef m'a chassé du camp de travail. J'ai dû mendier la nourriture des autres travailleurs parce qu'il refusait de me payer."

 

Le corps d'un garçon de 16 ans a été renvoyé à sa famille seulement six semaines après que le jeune homme fut arrivé dans l'émirat pour travailler. D'après l'ambassadeur népalais à Doha, le Qatar est une "prison à ciel ouvert". Une trentaine d'ouvriers ont trouvé refuge dans la représentation diplomatique.

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21 août 2013 3 21 /08 /août /2013 15:58

On se souvient d'une Laure Manaudou abandonnant la compétition pour enfin vivre, épuisée par une vie entière de kilomètres de piscine quotidiens. Mais bien sûr, les commentateurs ont toujours la mémoire courte et feignent l'incompréhension à l'annonce du retrait de Marion Bartoli, qui n'en peut plus de s'entraîner et se blesser depuis sa plus tendre enfance. Sportifs de haut niveau : une enfance volée.

Bises

Zinedine Z.

 

 

La première raison invoquée par la 7e joueuse mondiale est physique : «Mon corps (tendons d'Achille, dos, épaule, hanches) ne peut tout simplement plus. J'ai déjà eu énormément de blessures depuis le début de la saison. Cela fait tellement longtemps que je suis sur le circuit et j'ai tout donné lors de ce dernier Wimbledon, j'y ai laissé le reste d'énergie que j'avais encore. J'ai réalisé mon rêve, ça restera à jamais gravé, mais mon corps ne tient plus. Aujourd'hui j'avais déjà mal partout après 45 minutes.» Sa décision de tout arrêter a été prise après la rencontre : «C'est ce que j'ai ressenti après le match, que je ne pouvais plus faire ça. Tout le monde se souviendra de mon titre à Wimbledon, personne ne se souviendra de ce match ici. Cela a été une décision très dure, mais j'ai repoussé mes limites pour gagner Wimbledon et là je ne peux plus. Mon esprit n'y est plus, mon coeur n'y est plus et je ne peux plus mentir comme ça.»

http://www.lequipe.fr/Tennis/Actualites/Bartoli-arrete-tout/392984

«Ça fait plus de treize ans que je suis sur le circuit. Depuis le début de l’année, j’avais beaucoup de petites blessures un peu partout : cheville, pied, épaule. J’ai l’impression d’avoir tout donné pour gagner ce Grand Chelem. Mon corps ne peut simplement plus assumer aujourd’hui.» En juillet, Bartoli avait accompli son rêve en remportant le tournoi de Wimbledon. Pour cela, elle a fait des sacrifices importants et ne se sent plus prête à les assumer de nouveau. «Je passais énormément de temps chez les kinés (à Wimbledon). J’ai dû surmonter de grosses douleurs au tendon d’Achille et à l’épaule. Quand je me levais, il me fallait trente minutes avant de poser le pied par terre et marcher normalement, a détaillé Bartoli. Il a vraiment fallu que j’aille au bout et j’y suis arrivée.

http://www.lequipe.fr/Tennis/Actualites/Bartoli-en-paix-avec-moi-meme/393147

 

 

 

 

Bartoli : Un corps sportif épuisé
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29 juin 2013 6 29 /06 /juin /2013 10:05

La blague du moment : le cyclisme a connu une période sombre, il y a 15 ans, mais maintenant, c'est différent ! Ah ! Ah ! Ils sont vraiment prêts à tout pour sauver la boutique "Tour de france" qui rapporte tant de pognon.

Mais les coureurs disent eux-mêmes ce qu'on sait déjà : impossible de gagner sans dopage.

Bises

Zinedine Z.

 

Cyclisme : l'Allemand Jan Ullrich reconnaît s'être dopé

http://www.lemonde.fr/sport/article/2013/06/22/cyclisme-l-allemand-jan-ullrich-reconnait-s-etre-dope_3434831_3242.html

 

Le cycliste allemand Jan Ullrich, ancien vainqueur du Tour de France, a reconnu pour la première fois avoir eu recours au dopage avec l'aide du médecin espagnol Eufemiano Fuentes, au centre d'un vaste réseau de dopage, dans une interview à paraître lundi 24 juin, dans le magazine Focus.

"Oui, j'ai eu recours aux traitements de Fuentes, a déclaré le seul vainqueur allemand du Tour en 1997, aujourd'hui à la retraite et âgé de 39 ans. Presque tout le monde prenait à l'époque des substances dopantes. Je n'ai rien pris que les autres n'ont pas pris aussi."

"FAVORISER L'ÉGALITÉ DES CHANCES"

L'ancien leader de la Deutsche Telekom dit avoir voulu se placer au même niveau que les autres. "Selon moi, il y a escroquerie à partir du moment où je me procure un avantage. Il ne s'agissait pas de cela. Je voulais favoriser l'égalité des chances", a-t-il argué auprès de l'hebdomadaire.

L'Allemand estime que le talent, la performance, l'esprit d'équipe et la volonté de gagner restent les facteurs qui décident de la victoire, selon les extraits de cet entretien. Il avait déjà reconnu en février 2012 avoir eu des contacts avec le médecin espagnol.

 

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Présentation

  • : Le blog de Zinedine Z.
  • : Ce blog prétend déjouer l'hypocrisie du discours dominant sur le sport. Le sport est une emprise sur l'activité physique, une clôture pour la rentabiliser. Il tient le corps dans sa poigne de fer. Il enferme ses jeux, ses efforts, dans un système de mesures, afin de classer, comparer, hiérarchiser. Il presse l'activité physique sans fin pour en exiger une plus-value perpétuelle. On ne peut pas séparer le sport de la logique compétitive imposée aux êtres humains. A l'affrontement sportif correspond la lutte pour la survie, le "struggle for life" du capitalisme.
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